Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

QUETZAL

13 juin 2006

Le bourreau et le quetzal !

tikal_quetzal__24

logobanner7

lima3

Dans les années 1960 ,sont apparus dans le sillage des dictateurs sanglants de la république du Guatemala ,des hommes intelligents et froids comme le colonel " BYRON DISRAEL LIMA ESTRADA " . Longuement et patiemment entrainé au contre - espionnage par les ETATS -UNIS , à savoir la surveillance de toute opposition ,la torture sous toutes ses formes , et la politique de la terre brûlé sans aucune limite . Cheville ouvrière des différents militaires qui se sont succédés pendant 30 ans, cet hommes a participé à l'enlèvement , la torture et au massacre du peuple guatémaltéque et en particulier  de la communauté MAYA .

Laboratoire grandeur nature de la CIA et du NSA , le Guatemala a servi au puissant voisin étasunien de terrain d'expérimentation pour leurs différentes interventions militaires dans le monde, et ce, jusqu'à présent en Irak .

Voici la carrière d'un des officiers de l'ombre qui ont fait connaitre l'enfer sur terre à leur  peuple . 

Lima Estrada Byron Disrael
de 1958 à 1964 étude et apprentissage
Zona Militar  o Brigada Militar Zacapa Ejecutivo de Pelotón 1964 1965
Zona Militar   o Brigada Militar Zacapa Comandante de Pelotón 1965 1966
1er bataillon de la brigade militaire du capitaine Rafaël Carreras
(unité  d'élite formée et équipés par les Etats Unis ), dans un
secteur de contre -insurrection .
Zona Militar o Brigada Quetzaltenango Comandante de Pelotón 1966 1967
(unité  d'élite formée et équipés par les Etats Unis ), dans un
secteur de contre -insurrection .
Cuartel General Comandante de Pelotón 1968
de Policía Militar
Cuartel General Ejecutivo de Compañía 1968
de Policía Militar
police militaire de guatemala city , secteur de contre-guerrilla
Equipo Móvil de Entrenamiento
de USA (MTT) Estudiante 1970
Archivo Subjefe 1977
intelligence militaire :mission de renseignement
pour les escadrons de la mort   
Base Militar Puerto Barrios Oficial de Inteligencia (S2) 1970 1977
intelligence militaire :mission de renseignement
pour les escadrons de la mort   
Ejército de Guatemala*                   Teniente Coronel 1977 1981
En 1980 , il fonde l'unité tactique de contre insurrection 
futur D-2 commandement des escadron de la mort
Brigada Militar  Huehuetenango           Segundo Comandante 1981 1983
Participe à la politique de la terre brûlée
Ejército de Guatemala* Coronel 1981 1988
commandement du groupe tactique de sécurité
unité aéroportée des forces de sécurité
Dirección de Inteligencia (D2)   Director 1983 1985
commandement des escadrons de la mort 1986
Zona Militar 20, Quiché    Comandante 1985 1986
commandement de la région la plus sanglante
dans la répression du peuple maya
Zona Militar 8, Chiquimula     Comandante 1987 1988
participe au coup d'état avorté contre le Président Cerezo
Embajada de Guatemala en Perú                               Agregado Militar 1988
Embajada de Guatemala en Nicaragua    Agregado Militar 1991
mise à la retraite 1991
soupçonné de l'assassinat en 1998

de l'évêque Juan José Gerardi

2000

PURGE UNE PEINE DE 20 ANS


311894195706ac8e23314ec67d3364651

l'évêque Juan José Gerardi


Yves FARAONE

Publicité
Publicité
12 juin 2006

Ceux qui ont plumé le quetzal !

tikal_quetzal__23

logobanner5

Voici les dirigeants

                           de la république du Guatemala

                                         (1963-1996)

                      Des articles suivront sur la gestion talentueuse de leur pays .

                       Bilan  :            - 200 000 morts en 30 ans

                                      - un des pays les plus pauvres du monde


« S'il est nécessaire de transformer le pays en cimetière pour le pacifier,

Colonel  Enrique Peralta Azurdia

(1963 –1966)

je n'hésiterai pas à le faire. »

Le chef de la CIA au Guatemala écrit, en mars 1966, à Langley, le siège de l'Agence : « Les communistes et terroristes suivants ont été secrètement exécutés par les autorités guatémaltèques dans la nuit du 6 mars [suit une liste de noms]. L'exécution de ces personnes ne sera pas annoncée et le gouvernement du Guatemala niera qu'elles aient jamais été arrêtées. »

  En 1962, on entendit parler pour la première fois au Guatemala d'une dévaluation éventuelle du quetzal, monnaie équivalant au dollar des Etats-Unis. Et bien que le gouvernement s'empressa de démentir cette nouvelle, la vérité est que le recours excessif aux crédits internationaux, ainsi que le gaspillage des ressources intérieures, rapprocha le pays si près d'une catastrophe économique qu'il fut nécessaire d'adopter des mesures d'urgence comme la mise en place d'un contrôle des changes et de l'utilisation des devises étrangères dans divers secteurs de l'activité commerciale.

Document de base constituant la première partie des rapports des Etats Parties : Guatemala. 05/10/94.

416. Pour remédier à cette situation, on dut augmenter les impôts qui pesaient déjà lourdement sur les contribuables guatémaltèques. Le Congrès de la République débattit d'un projet d'impôt sur le revenu, plus général et plus complet que l'impôt sur les bénéfices, qui n'était versé que par les entreprises. Mais malheureusement, d'autres moyens furent utilisés pour améliorer le crédit du pays, notamment en facilitant l'entraînement des forces qui échouèrent dans leur tentative d'envahir Cuba à la baie des Cochons. Cette grave situation politique fut à l'origine du soulèvement armé du 13 novembre 1960 et de l'organisation de groupes qui utilisèrent plus tard des tactiques de guérilla au Guatemala. Des révoltes populaires et des mouvements estudiantins se produisirent également en mars et avril 1962. Cette situation renvoya l'application de mesures fiscales d'urgence à une époque plus propice.

417. La révolte générale de mars et d'avril 1962 obligea notamment le général Ydígoras Fuentes à constituer un cabinet militaire qui dans les plus grandes difficultés réussit à maintenir la situation précaire du gouvernement jusqu'au 31 mars 1963. A cette date le président fut renversé à la suite d'un coup d'Etat sans effusion de sang de l'armée, qui assuma tous les pouvoirs dans le pays, en constituant un conseil de gouvernement, présidé par le ministre de la défense nationale, le colonel Enrique Peralta Azurdia. A la suite du coup d'Etat du 31 mars 1963, l'ordre institutionnel dans le pays fut rompu, la Constitution de la République fut abrogée, le Congrès national fut dissous et la direction des affaires publiques fut assurée d'une manière dictatoriale, par un système de décrets-lois, discutés par un conseil d'Etat et approuvés par le cabinet militaire.

418. Durant une période de trois ans et trois mois, le pays fut gouverné par le régime militaire du colonel Peralta Azurdia, dont l'action reposait sur la charte fondamentale de gouvernement, qui conférait à l'exécutif des pouvoirs discrétionnaires.


Lic. Julio César Méndez Montenegro

(1966 –1970)

Sous le gouvernement de Julio César MENDEZ MONTENEGRO, le mouvement rebelle est pratiquement écrasé.

en 1967 le directeur du renseignement au Département d'Etat explique  Dans un rapport:

« Au coeur de l'appareil [anticommuniste] secret, il y a l'unité spéciale de l'armée qui enlève, assassine dans la rue, commet des attentats et exécute des communistes réels ou supposés et qui, de temps à autre, agit contre de soi-disant "ennemis du gouvernement" mal définis. »"

En 1968, Viron Vaky conseiller à l'ambassade des Etats-Unis au Guatemala.

« Nous avons fermé les yeux sur la contre-terreur ; nous l'avons même dans les faits encouragée ou soutenue » ; « Nous avons été si obsédés par la peur de l'insurrection que nous avons écarté tous nos scrupules.Le meurtre, la torture et la mutilation sont "justes" quand c'est notre camp qui les pratique et si les victimes sont communistes.J'ai entendu l'argument suivant de gens de chez nous, textuellement : "Après tout, l'homme n'a-t-il pas toujours été un sauvage depuis le début des temps, alors ne soyons pas trop délicats à propos de la terreur".

GENERAL CARLOS MANUEL ARANA OSORIO

(1970 -  1974)

Les assassinats politiques ponctuèrent les mandats du général Carlos Araña Osorio, élu président en 1970 .

La CIA en 1971 : « Les forces de l'ordre éliminent en silence beaucoup de terroristes, principalement à l'intérieur du pays. Dans le seul département de San Marcos, 200 ont été tués. »

General

Kiell Eugenio Laugerud García

(1974-1978)

Les assassinats politiques ponctuèrent les mandats du général Kiell Eugenio Laugerud García (1974-1978) .

  Le 4 février 1974, un dépêche du Département d’Etat signala la recrudescence des activités des "escadrons de la mort".

général Romeo Lucas García

(1978-1982).

le pays fut victime d'un cyclone dévastateur (1974) et d'un violent tremblement de terre (1976) qui laissèrent un million de Guatémaltèques sans abri. La violence connut alors une augmentation considérable, qui marqua la présidence du général Romeo Lucas García (1978-1982). La guerre civile avait alors déjà fait des dizaines de milliers de victimes.

La CIA en 1982 : « Selon les plans militaires, le gouvernement guatémaltèque va commencer à nettoyer la région du Triangle d'Ixil, où se trouve la plus grande concentration de guérilleros. Cette opération risque de conduire à de sérieux abus de la part des forces armées. [...] Il sera peut-être nécessaire de détruire un grand nombre de villages. »

« Les commandants des troupes ont reçu l'ordre de raser tous les villages et toutes les villes qui collaborent avec la guérilla et d'éliminer toutes sources de résistance. »

« Quand une patrouille de l'armée rencontre de l'opposition dans une ville, celle-ci est considérée hostile dans son ensemble et est détruite en totalité. »

 

trois types de délit commis par l’État guatémaltèque : génocide, torture et terrorisme d’État.Cette plainte désigne huit personnes comme principaux responsables des crimes commis dont :

3. le Général Fernando Romeo Lucas Garcia ( Président de la République du Guatemala du 1.07.1978 au 23.03.1982, résident au Venezuela),

 

4. le Général Angel Aníbal Guevara Rodriguez (Ministre de la défense sous le gouvernement de Lucas García, résident au Guatemala),

 

5. Donaldo Alvarez Ruiz (Ministre de l’intérieur sous le gouvernement de Lucas Garcia, résident à Miami, États-Unis)

 

6. le Colonel Germán Chúpina Barahona (Directeur général de la Police Nationale sous le gouvernement de Lucas Garcia, résident au Guatemala),

 

7. Pedro García Arredondo, (chef du commandement 6 de la police nationale sous le gouvernement de Lucas Garcia, résident au Guatemala),

 

8. le Général Benedicto Lucas García (chef de l’État Major de l’armée sous le gouvernement de son frère Romeo Lucas García, résident au Guatemala).

 



Efrain Rios Montt

(1982 1983)

En mars 1982, les promoteurs d'un coup d'Etat contre le général Lucas Garcia qui avait succédé à Laugerud le placent à la tête de

la Junte

militaire. Sa politique de la terre brûlée mène à une répression caractérisée par le massacre de populations indiennes et l'anéantissement de 440 villages indiens, provoquant des milliers de victimes enfouies dans des centaines de fosses communes clandestines.
Rios Montt est à son tour écarté du pouvoir par un coup d'Etat de son ministre de

la Défense

, Mejia Victores en août 1983.

la CIA relate les consignes du nouveau président guatémaltèque, Rios Montt :

« Vous êtes libres d'appréhender, d'emprisonner, d'interroger, de vous débarrasser des présumés guérilleros comme bon vous semble. »

au début des années 1980 environ 70 000 suppliciés

Une plainte pénale déposé contre Rios Montt pour génocide en est au stade de l'instruction


Mejia Victores

(1983-1986)

En 1983, le général Mejia Victores, après un coup d'Etat, devient président du Guatemala, succédant à un autre général putschiste, Rios Montt, qui avait porté la violence institutionnalisée à un sommet inégalé. Le gouvernement de Mejia Victores avait pour objectifs d'en finir avec la guérilla et d'obtenir une aide internationale en échange de la mise en place d'un gouvernement civil.

Lic. Marco Vinicio Cerezo Arévalo

(1986 – 1990)

Début

1986, l

'élection du démocrate-chrétien, Vinicio Cerezo réveille les espoirs de la société civile. La déception sera grande, l'armée conserve le pouvoir et maintient la militarisation du pays. Quant au gouvernement « civil », il excelle en corruption.


Ingeniero Jorge Serrano Elías

(1991 – 1993)

Les élections présidentielles de 1990-1991 portent à la présidence le candidat du Mouvement d'action social, Jorge Serrano, un évangéliste proche de Rios Montt. Certains parlent de crise de légitimité, car Serrano n'est élu que par 30 % des citoyens inscrits et après des alliances douteuses entre différents partis qui sont loin de représenter les populations guatémaltèques. En mai 1993, la crise s'amplifie avec d'importants mouvements sociaux, des désaccords au sein de l'armée mais aussi entre l'exécutif et le législatif, ce qui conduit Serrano à provoquer un coup d'Etat. Les pressions internationales, la rapide mobilisation de l'opinion publique et des organisations populaires mènent à la sortie de la crise.

Lic. Ramiro de León Carpio

( 1993 –1996)

L'ancien procureur des droits de l'homme De Leon Carpio est élu président du Guatemala par le Congrès. Rapidement celui-ci est confronté aux mêmes problèmes que ses prédécesseurs : pouvoir des militaires, violations des droits de l'homme et corruption

   Voici les dirigeants étasuniens (1963-1993) .

 

  dont la participation zélée aux différents coup d'état ,

    et l'aide efficace apportée aux escadrons de la mort guatémaltèques 

    est certifiées par des documents déclassifiés de la CIA .

               

Les Présidents des Etats Unis   

 


36 ème  President  des états unis

( 1963  - 1969)

Lyndon Baines Johnson

37ème President  des Etats - Unis 

(1969 - 1974)

Richard Milhous Nixon

 

38 ème President des Etats - Unis

( 1974 - 1977)

Gerald Rudolph Ford

39 èmes  President des Etats - Unis

( 1977 - 1981)

James Earl Carter, Jr.

   


40 ème President des Etats - Unis

(1981 - 1989)

RONALD REAGAN








manuel de torture écrit en 1983 par les spécialistes de l'agence de renseignement à l'usage de leurs homologues d'Amérique centrale - Honduras et Guatemala, en particulier :

" La salle d'interrogatoire est un champ de bataille ; là il s'agit de créer pour le sujet des situations déplaisantes ou intolérables . Menacer d'infliger une douleur peut susciter une peur plus grande que l'immédiate sensation de souffrance. En fait, la plupart des gens sous-estiment leur capacité à résister à la douleur . La douleur que l'on inflige à un sujet peut accroître sa volonté de résister. En revanche la douleur qu'il pense s'infliger lui-même a plus de chance de saper ses résistances. Après un certain temps,il va probablement épuiser sa force interne de motivation . Si une forte peur peut faire craquer le sujet, une panique prolongée peut plonger celui-ci dans une apathie défensive dont il sera difficile de le sortir . Le moment idéal pour l'arrestation , ce sont les premières heures du matin. C'est là que l'on peut créer le choc psychologique et le sentiment d'insécurité les plus violents .les cellules des prisonniers doivent avoir des portes en métal, car le fait de fermer une porte lourde derrière le sujet donne à celui-ci le sentiment d'être coupé du reste du monde."


41ème  President des Etats - Unis

(1989 - 1993)

George Herbert Walker Bush


YVES FARAONE

L'ambassade américaine à Guatemala City : « Notre aide a joué un rôle positif pour permettre à la police guatémaltèque d'assurer sa mission d'une manière professionnelle et légale.  Si nous ne soutenons plus les forces de l'ordre de ce pays, celles-ci pourraient avoir recours à davantage de procédés illégaux. »



12 juin 2006

le condor et le quetzal !

tikal_quetzal__22

logobanner4

« S'il est nécessaire de transformer le pays en cimetière pour le pacifier, je n'hésiterai pas à le faire. »

Le chef du gouvernement guatémaltèque, le colonel Peralta . fin 1965 

Voici le programme politique qui va entraîner le Guatemala dans 30 années d’atrocité planifiée .Fin 1965 , la machine infernale ,va se mettre en route avec l’aide de la CIA, pour mâter une Rébellion dont on va gonfler l’importance . L‘armée quadrille Guatemala city , le filet se refermera assez rapidement sur les principaux opposants de la gauche classique , et sur le peuple guatémaltèque .

Pour bien comprendre cette situation, il faut remonter à l’année 1954, date à laquelle une réforme agraire est étouffée par un coup d’état dont les états unis expérimentaient pour la première fois l’efficacité . En novembre 1950 Jacobo Arbenz est élu à la présidence et lance un programme de partage des terres , qui va lentement mais sûrement inquiéter la classe dirigeante ,propriétaire terrienne , et la puissante united fruit company noyautée par la central Intelligence agency .

yves FARAONE

12 juin 2006

on a tué le quetzal !

tikal_quetzal__2

logobanner3

Les escadrons officiels sont coupables d’atrocités. Les interrogatoires sont brutaux, la torture est employée et les corps sont mutilés", écrivit Vaky. "Dans les esprits de nombreux Latino-américains, et, malheureusement, particulièrement parmi la population jeune, sensible et volubile, on nous reproche de couvrir ces méthodes, quand ce n’est pas de les encourager. Alors notre image est en train de ternir et notre crédibilité faiblir lorsque nous affirmons que nous voulons un monde meilleur et plus juste."

chef adjoint de mission de l’ambassade, Viron Vaky , 29 mars 1968 

Du milieu des années 60 aux années 90 , l'armée avec l'aide logistique des états unis , a exterminée le peuple guatémaltèque sans aucune raison , si ce n'est une pseudo lutte anti-insurrectionnelle .

200 000 individus , femmes, enfants ,hommes , ont été purement et simplement sacrifiés sur l'autel de l'anti-communisme et surtout du profit des propriétaires terriens et de " l'united fruit company " .Soit , si on se réfère à la population française , 1,2 millions de personnes , ce qui n'est quant même pas un simple accident de l'Histoire , mais une politique planifiée de terre brûlée.

L'histoire commence dans la nuit du 6 mars 1966 , par l'exécution de plusieurs "communistes et terroristes " pour s'achever , le 10 mars 1999, par les excuses du président Clinton ,pour le soutien accordé par les états unis aux régimes d'extrème droite au Guatemala .

Aujourd'hui , que sont devenus les tortionnaires d'hier avec les exécuteurs des basses oeuvres?

Aujourd'hui , souvenons nous des 200 000 morts et disparus , sans oublier la situation politique et économique actuelle ,consternante et dramatique , laissée derrière eux par les généraux ,l'oligarchie du pays et les différents dirigeants du puissant voisin étasunien 

D'autres articles suivront , relatant l'histoire du Guatemala des années 1960 aux années 1990 , ainsi que la situation actuelle .

yves FARAONE

Publicité
Publicité
QUETZAL
Publicité
Publicité